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A Condé-sur-Sarthe et partout dans la France carcérale, une loi pénitentiaire « pourrit la vie » des surveillants, enhardit les détenus et plonge la Justice dans le chaos. Dans cette loi du 24/11/2009 – notez la date – deux articles enragent notamment les syndicats pénitentiaires :

– le 57 restreint fort la capacité de fouilles en prison : obligation de justifications précises… nécessité absolue… fouilles intégrales ou par palpation rarissimes, etc. Ce qu’en dit FO-Pénitentiaire (France-Info, 21/08/2018) : « Ca nous a enlevé tout moyen d’éviter le trafic. Les téléphones, la drogue, tout ce réseau parallèle font des prisons des zones de non droit ».

– Le 36, sur les Unités de vie familiale (UVF) – là où les fanatiques de Condé-sur-Sarthe se planquent après avoir poignardé, pour les tuer, ses surveillants au cri de Allahou Akbar. Que nous dit de ces UVF l' »Observatoire international des prisons » – notoire outil d’influence libertaire – « Les détenus peuvent y rencontrer leurs visiteurs – lisez bien – sans surveillance directe du personnel. Encore ceci : « Depuis la loi pénitentiaire de 2009, tous les détenus peuvent en principe accéder à ces différentes formes de visites ».

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