• Les syndicats de police n’hésitent plus, comme à Rennes récemment, à diffuser des vidéos montrant de violentes agressions. Est-ce le signe d’un craquement progressif qui nécessite d’alerter les citoyens ?

Ce qu’en France, on appelle de façon bien floue (et depuis près d’un demi-siècle) les « violences urbaines », résulte quasiment toujours de l’activité de bandes (organisées) ou de meutes (s’agrégeant plus spontanément). L’activité de ces deux notoires types d’entités criminelles repose sur un triptyque simple :

– un territoire (cité, grand ensemble, immeuble, quartier parfois),
– des trafics nourrissant les bandits et leurs clans (le « business ») trafic de stupéfiants… proxénétisme… « marchés aux voleurs »… racket… squats pour « marchands de sommeil » et exploitation d’immigrés clandestins, etc.
– La violence pour protéger son business, éloigner la concurrence et tenir au loin la répression quand, timidement, les forces de l’ordre osent investir « leurs » territoires.

 

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