Jours tranquilles dans les fameux « Quartiers Nord » de Marseille. Derniers en date, trois garçons à nouveau foudroyés par des rafales d’armes de guerre. Aragon 1931, « Front rouge », poème stalinien : « L’éclat des fusillades ajoute aux paysage une gaité jusqu’alors inconnue ». A la favela des Lauriers, on en est là, désormais.

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