19 avril – 3

La pitoyable excuse « C’est de la faute des gilets jaunes » avancée par M. Castaner et relayée par ses domestiques médiatiques ne tient pas une minute, car la poussée criminelle est constatable, ses signes précurseurs d’abord ; toute sa gravité ensuite ; non sur les seuls deux derniers trimestres comme le prétend l’Intérieur (d’octobre décembre 2018 sur janvier-mars 2019) mais bel et bien sur UN AN, donc bien avant qu’existent les gilets-jaunes.
La moindre honnêteté pour ces journalistes était donc de comparer les deux séries chiffrées et d’y chercher ce qui tenait au mauvais travail de l’Intérieur ; puis ce qu’on pouvait de fait attribuer, dès fin 2018, à l’effet gilets jaunes. Les statistiques de l’Intérieur étant disponibles, une heure de temps et une calculette (plus bien sûr, une minimale compétence) permettaient de redresser ces mensonges. Ignorance ? Servilité ?

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