DANS un monde souvent oublieux des périls, la sécurité globale tient d’abord à parer aux surprises, ou chocs, stratégiques. D’où le crucial besoin d’un renseignement d’alerte, outil d’aide à la réduction des erreurs décisionnelles. Ce qui ensuite impose :
– D’imaginer, partant d’une réflexion critique sur le réel observable, une méthode permettant d’élaborer des estimations exactes,
– D’« explorer l’infrayé » : repérer, cibler les phénomènes menaçants (entités, territoires, flux – et situations).
Ainsi pourrons-nous agir à temps – voire, prévenir. Dans « La Société du risque », son prophétique ouvrage