La face obscure de la mondialisation

La mondialisation, universel bienfait ?
Pas vraiment.

Comme tout phénomène humain, la mondialisation est semblable à la « langue d’Ésope » – la meilleure et la pire des choses à la fois.
La meilleure face de la mondialisation est sans cesse vantée par ses thuriféraires, pour l’essentiel des libéraux proches du monde des affaires, et par les médias qu’ils possèdent souvent : c’est la « mondialisation heureuse » décrite dans les années 1990. Sa face obscure, ces mêmes intérêts tentent de la noyer dans le silence, ou bien, quand la réalité est trop grave pour être tue ou niée, ce « pire » est morcelé et présenté comme un épiphénomène (une collection de « fait divers ») étranger à la mondialisation. Alors qu’en Europe, le terrorisme islamiste se dissipe (aucun attentat en 2011 selon Europol), alors qu’à l’échelle européenne la toxicomanie baisse chez les jeunes, quelle est aujourd’hui cette « face criminelle de la mondialisation » ?
Quel est son avenir ?

ISBN : 978-2-13-062072-3
www.puf.com

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