A Danielle,
A François-Régis,
A Aude,
A Clotilde.

Remerciements.

Que tous ceux qui ont rendu possible ce travail trouvent ici l'expression de ma gratitude. Dans la communauté universitaire, je veux nommer en premier MM. les professeurs François HAUT et Xavier RAUFER qui ont bien voulu diriger ces travaux après m'avoir montré, à l'occasion des séminaires du centre d'analyse des menaces criminelles contemporaines de l'institut de criminologie de Paris-II, la réalité et l'ampleur cachée du phénomène ici décrit.

Je ne saurais trop insister ensuite sur le rôle décisif et amical de M. le Président Jean-François THÉRY, ancien président de la section du rapport et des études du Conseil d'État, qui, alors qu'il présidait la 6ème sous-section du contentieux de cette haute juridiction, m'apprit à raisonner en juriste et en humaniste.

Mes remerciements vont également à M. le Premier substitut Alain DAMECOUR, magistrat à l'administration centrale, pour ses aperçus riches d'enseignements sur l'action publique, l'aide aux victimes et l'appui psychologique, ainsi qu'au commandant Hervé PÉRON, chef-adjoint du RAID, pour les aperçus d'un policier fortement engagé dans l'action.

Il n'est que justice enfin de dire ici ce que je dois à mon épouse, sans qui rien de ce qui est ne serait et qui a vu sacrifier des soirées, des fins de semaine et des heures de vacances pour ce qui n'était encore qu'une suite d'écrans. Et qui sut, lorsque le découragement gagnait, que la technique trahissait, relancer l'envie...

 

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