C'est ainsi que les rédacteurs des "Notes" travaillent d partir de documents publics (communiqués, textes doctrinaux, brochures, bulletins, journaux; revues, interviews, etc...); ils s'interdisent de recopier les notes et autres productions de services officiels (Intérieur, Défense, Renseignement) qui pourraient être portés d leur connaissance.
L'inverse devrait être également vrai : d quoi bon, pour un service quel qu'il soit, reprendre un travail "ouvert" -le nôtre en l'occurence - et se l'attribuer ?
Sil estimait utile, d l'avenir, de répandre notre prose, qu'un éventuel épigone ait l'amabilité de citer ses sources.
A l'avance, merci.
Xavier Raufer
Août 1988