Une police et des militaires épuisés, dont nombre des cadres et chefs n’ont pas eu un jour de repos – fêtes incluses – depuis le 13 novembre ; au front depuis désormais 60 jours. Des acteurs de l’antiterrorisme plus inquiets encore qu’à l’automne passé, à mesure qu’ils réalisent qu’au-delà de nos frontières, l’Union européenne perd le contrôle de ses territoires et frontières. Tétanisées, vouées aux bienséances et aux chamailleries, les impuissants de Bruxelles ont vu le tsunami d’un million de « migrants » déferler sur l’Europe. Tel est le niveau « macro » ; au plan « micro », ce fut pire encore, comme le démontre cruellement le cas Abdelhamid Abaaoud.

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